Avoir un plan B survivaliste n'est plus une simple option, mais une nécessité. Les crises économiques, les conflits ou encore les catastrophes naturelles rappellent l'importance de prévoir un repli stratégique. Imaginez pouvoir vivre en toute sécurité, dans un pays stable, tout en réduisant vos dépenses et en assurant votre autonomie.
Pour les survivalistes pragmatiques, un repli temporaire dans un endroit sûr et abordable peut offrir la tranquillité nécessaire pour traverser des périodes difficiles. Dans cet article, découvrez 15 pays où le coût de la vie est extrêmement bas, avec des informations détaillées sur les visas, le logement, la nourriture et bien plus encore. Ces destinations ne sont pas seulement économiques, elles offrent également des opportunités pour une vie simple, autonome et sécurisée.
Préparer votre plan B dès aujourd’hui, c’est anticiper demain avec sérénité. Alors, êtes-vous prêt à explorer les possibilités ?

Quels sont les pays les moins chers pour préparer un plan B survivaliste en temps de crise ?
Les pays les moins chers pour préparer un plan B survivaliste incluent la Thaïlande, la Bolivie, le Paraguay, la Turquie et la Tanzanie. Ces destinations offrent un faible coût de la vie (logement dès 100 €/mois, repas à partir de 1 €), des visas flexibles et des ressources naturelles abondantes. Idéales pour une vie autonome et sécurisée, elles permettent de traverser les crises avec sérénité.
Vidéo Associée : Les 15 pays les moins chers pour votre plan B survivaliste
Avant de plonger dans le détail, découvrez notre vidéo qui accompagne cet article pour une exploration visuelle. Une ressource précieuse pour toute personne cherchant à se préparer efficacement.
Pourquoi avoir un plan B survivaliste ?
Se réfugier dans un autre pays, même temporairement, n’est pas un acte de fuite, mais une stratégie de survie et de résilience.
Un plan B international peut offrir des solutions concrètes et immédiates face à des crises, mais il est essentiel de garder à l'esprit qu'il doit rester temporaire, flexible, et bien réfléchi. Voici pourquoi et comment envisager cette approche :
Les raisons d’un plan B
- Coût de la vie réduit : Certains pays permettent de vivre avec un budget modeste tout en maintenant un bon niveau de confort.
- Stabilité politique et sociale : S’éloigner des zones de tensions ou de conflits offre un cadre de vie plus serein.
- Ressources naturelles accessibles : De nombreuses destinations permettent de cultiver, pêcher ou profiter de ressources locales à faible coût.
- Qualité de vie : Des endroits allient faible coût de la vie, climat agréable, paysages magnifiques et une culture accueillante.
Les principes clés pour réussir son plan B
- Flexibilité avant tout : Un plan B n’est pas définitif. Il doit vous permettre d’ajuster vos décisions en fonction de l’évolution des situations locales et internationales. Restez mobile et léger !
- Caractère temporaire : Le plan B est une solution transitoire. Il ne remplace pas une stratégie de long terme, mais vous donne le temps de réfléchir et de vous adapter.
- Créer un revenu complémentaire en ligne : Avoir une source de revenus indépendante de votre localisation est un atout majeur. Que ce soit via des activités de freelance, des ventes en ligne ou d’autres formes de travail à distance, cela vous offre une autonomie financière dans un environnement incertain.
Vos meilleures armes dans cette stratégie
- Liquidités (cash) : Le cash reste indispensable pour faire face aux imprévus, en particulier dans des zones où les systèmes bancaires peuvent être instables ou limités.
- Comptes bancaires diversifiés : Avoir des comptes dans plusieurs banques et pays vous garantit une meilleure sécurité financière et un accès fluide à vos fonds.
- Sécurité économique : Conservez des réserves en devises fortes (dollar, euro) et veillez à avoir un accès rapide à vos ressources financières.
Face à la réalité actuelle, pas aux fantasmes
Il ne s'agit pas ici d'un fantasme d'"effondrement" avec un grand E. Les crises ne sont pas théoriques : elles se déroulent actuellement sous nos yeux. Par exemple, des milliers d'Ukrainiens meurent dans les tranchées pendant que d'autres, ailleurs, boivent des bières au soleil. C'est cette disparité brutale qui nous rappelle l'importance de prévoir et d’agir en fonction de faits réels et actuels, plutôt que de se perdre dans des scénarios catastrophistes.
Un plan B international est une stratégie pragmatique, qui combine préparation, autonomie financière et adaptabilité. Avec des liquidités disponibles, des comptes bancaires diversifiés et un revenu en ligne, vous maximisez vos chances de surmonter les crises, tout en restant flexible et réaliste. Bien entendu, cette préparation est un peu plus compliquée qu'empiler des conserves.
Mettre tous ses œufs dans le même panier
Prenons l'exemple des Ukrainiens.Certains sont dans des tranchées, dans le sang et la boue, pendant que d’autres ont fui vers des zones plus sûres ou carrément à l’étranger. Et dans ce contexte, croire qu’entasser des conserves pour 3 ans dans une ferme vous protège de tout, c’est de la pure illusion. Pourquoi ? Parce que stocker à outrance ne rime pas avec sécurité.
Pourquoi ça ne suffit pas
- La vraie sécurité, ce n’est pas juste des boîtes de raviolis : Remplir une cave de conserves ne vous met pas à l’abri des vrais problèmes d’une crise : l’aspect humain, politique et social. Si vous pensez que vous êtes "hors système", détrompez-vous.
- Une ferme peut devenir une cible : En cas de chaos, une ferme isolée, avec des provisions, peut vite attirer des pillards ou des groupes désespérés. C’est du bon sens : si vous avez, et qu’eux n’ont rien, devinez ce qui va se passer.
- Pas de réseau = pas de sécurité : Être seul dans un coin reculé, c’est affronter tous les imprévus sans personne pour vous aider. Une panne ? Une blessure ? Un problème de sécurité ? Vous êtes seul.
- La campagne n’est pas un monde à part : Les lois et les crises touchent tout le monde. Les champs et les fermes n’ont jamais été des sanctuaires miraculeux. Si ça pète, ça pète partout.
- Les crises ne sont jamais figées : Stocker pour 3 ans, c’est bien… sauf que les crises évoluent. Que faites-vous face à un conflit qui dure 10 ans, à un bouleversement climatique ou économique ? Ceux qui survivent, ce sont ceux qui savent s’adapter, pas juste ceux qui ont des stocks.
Alors, que faire ?
Une vraie préparation RÉALISTE, ça demande plus que des conserves.
Voici les bases :
- Oui, faites des réserves, mais pas que : Avoir des stocks, c’est utile. Mais si c’est votre seule carte, vous jouez un jeu dangereux. Les provisions, c’est un outil, pas une solution miracle et encore moins générique.
- Construisez un réseau solide : Les Ukrainiens qui avaient des proches à l’étranger, des contacts dans d’autres régions ou une communauté ont eu une longueur d’avance. Seul, vous êtes vulnérable.
- Ayez un plan B flexible : Vos réserves ne doivent pas vous enfermer. Si vous devez fuir ou bouger, soyez prêt à laisser tout derrière et recommencer ailleurs. Oui, c'est difficile, mais qui a dit que ce serait facile ?
- Investissez dans des compétences pratiques : Cultiver, réparer, vous soigner, vous défendre… Ce que vous savez faire vaut souvent plus que ce que vous possédez. Ses compétences, vous pouvez les embarquer partout avec vous.
- Diversifiez vos revenus : Avoir un revenu complémentaire en ligne ou indépendant de votre localisation, c’est un levier énorme. Ça vous offre une autonomie financière, où que vous soyez. Encore une fois, 500 euros par mois est accessible à TOUS sous réserve de TRAVAILLER en conséquence.
Le contraste ukrainien (exemple)
- Ceux qui ont survécu et rebondi : Ce sont souvent ceux qui ont fui à temps, avec un plan B, des économies en devises fortes, et la capacité de s’adapter rapidement.
- Ceux qui sont restés coincés avec leurs conserves : Beaucoup se sont retrouvés pris au piège. Pensant qu’ils seraient à l’abri dans leur ferme, ils n’avaient pas prévu de plan alternatif. Résultat ? Quand la situation a dérapé, ils ont payé leur immobilisme très cher.
- Les vrais héros sont éclopés : Vous pensez vraiment qu’ils sont heureux d’avoir "servi leur pays" avec une jambe en moins, dans le meilleur des cas ? Vous croyez que leur famille est fière de voir leurs "héros" rentrer mutilés (et avec des dégâts psychologiques irréparables) ou pire, ne pas rentrer du tout ? La réalité est brutale : il n’y a pas de gloire dans l’immobilisme ou l’absence de préparation réelle.

Conclusion
Stocker dans une "ferme autonome", c’est bien, mais c’est loin d’être suffisant. Si vous mettez tous vos œufs dans le même panier, ça finit mal. La vraie préparation, c’est un mix intelligent : des réserves, des compétences, un réseau solide, et surtout de la flexibilité. Ceux qui survivent, ce sont ceux qui bougent, qui s’adaptent, et qui anticipent. Les autres ? Ils subissent... et regrettent. À vous de voir.
Plan d'expatriation ou de plan B
survivaliste simplifié
Documents essentiels
- Passeport et visa : Vérifiez leur validité et les exigences du pays de destination. Prévoyez un autre plan B dans un ou des pays limitrophes.
- Assurance voyage : Couvre les soins médicaux, accidents, rapatriement, etc.
- Copies de documents : Numérisez et imprimez passeport, visa, permis, billets.
Santé
- Vaccins obligatoires : Consultez un médecin ou un centre spécialisé pour les vaccins requis.
- Médicaments : Préparez une trousse de secours adaptée à vos besoins (avec ordonnance).
- État de santé : Faites un check-up médical si nécessaire.
Finances
- Moyens de paiement : Prévoir une carte internationale et un peu de liquide local.
- Notifications à la banque : Informez-les de vos déplacements pour éviter un blocage de carte.
- Budget : Calculez les coûts (logement, nourriture, transport, imprévus).
- CASH : Prévoir du cash jusqu'à 10000 euros maxi et un compte en banque avec des économies. Vérifiez si votre CB peut retirer du cash à l'international. Idéalement, avoir deux banques avec deux cartes bancaires.
- Business en ligne : Un revenu complémentaire est à considérer. Gagner des millions est difficile, mais gagner quelques centaines d'euros est accessible à tous ceux qui s'en donnent la peine. 500 euros par mois permettent déjà de vivre.
Logistique
- Billets de transport : Vérifiez tous les aéroports dans votre région. Mettez en favoris des site de booking en ligne et prévoyez plusieurs options.
- Hébergement : Réservez à l’avance pour au moins les premiers jours puis avisez sur place. Prenez une location "full furniture" au mois, moins cher.
- Bagages : Emballez léger, en respectant les restrictions des compagnies aériennes. Prévoyez de "rebondir de pays en pays" donc, voyagez léger : petit sac à dos et sac de voyage à roulette (celui-là est pas cher et costaud)..
- Pays chauds : Un seul Jean et un seul sweat pour le trajet. Ne vous encombrez pas inutilement. Commencez à écrire votre liste à l'avance. Demandez conseils sur le net.
Condos tout équipés : Ne vous encombrez pas !
Dans de nombreux pays, les condos (ou appartements meublés) représentent une solution pratique pour les séjours prolongés. Ils sont souvent entièrement équipés, avec le linge de lit, des serviettes, et une cuisine complète comprenant tous les ustensiles nécessaires (vaisselle, casseroles, micro-ondes, réfrigérateur, etc.). Certains incluent même des équipements ménagers comme un lave-linge ou un fer à repasser.
Cette option permet de voyager léger et de profiter d’un confort similaire à celui de chez soi, tout en économisant sur les repas grâce à la possibilité de cuisiner. Par ailleurs, les condos offrent souvent plus d’intimité et d’indépendance que les hôtels, avec parfois des services supplémentaires comme le ménage ou l’accès à une piscine. Ils sont faciles à trouver via des plateformes comme Airbnb ou Booking, mais il est important de vérifier si les frais comme l’électricité ou le ménage sont inclus.
Le bagage par personne doit se limiter au strict minimum, idéalement au volume d’un sac de 80 litres ou équivalent. Ce choix permet de voyager léger, de rester mobile et de réduire le stress lié au transport ou au stockage. Un sac bien pensé, compact et polyvalent, contient tout ce qui est réellement nécessaire : vêtements adaptés à la saison, quelques articles essentiels de toilette, et éventuellement un petit kit de survie ou des accessoires pratiques comme une trousse à pharmacie minimaliste ou un chargeur portable. En limitant le volume, vous évitez de vous encombrer inutilement et gagnez en efficacité, ce qui est particulièrement crucial en cas de déplacements fréquents ou d’imprévus. Vous n’avez pas besoin de plus : voyager léger favorise une plus grande liberté et un meilleur contrôle de votre environnement.
Sécurité
- Contacts d’urgence : Ambassade, proches, et numéros locaux importants.
- Recherches sur le pays : Connaître les lois locales, coutumes et zones à éviter. Encore une fois, renseignez-vous. TOUT est disponible gratuitement sur le net.
- Applications utiles : Cartes hors ligne, traducteurs, guides de voyage.
Communication
- Téléphone : Vérifiez votre forfait ou achetez une carte SIM locale.
- Adresses e-mail et réseaux sociaux : Pour garder le contact avec vos proches.
- Communautés : Abonnez-vous à des groupes Facebook, des chaînes YouTube ou des plateformes similaires dédiées à vos pays de destination afin de commencer à vous informer efficacement. Ces ressources offrent des conseils pratiques, des témoignages d'expatriés et des informations actualisées sur la culture, les démarches administratives et la vie locale.
Un plan B survivaliste n'est PAS changer de vie pour toujours
Le mode minimaliste "survie" à l'étranger consiste à activer un plan B en cas de besoin, que ce soit pour des raisons financières, personnelles ou de sécurité. Ce mode de vie repose sur la capacité à vivre simplement, sans superflu, tout en optimisant les ressources disponibles.
Vous n'êtes pas en vacances, donc inutile de chercher le luxe ou les expériences coûteuses. Il est tout à fait possible de s’installer dans un petit condo économique, souvent tout équipé (piscine, salle de sport), et de passer vos journées à marcher dans les rues, explorer les environs ou manger dans des restaurants locaux peu onéreux. Ce style de vie peut être maintenu pendant des mois (voire plus) avec un budget limité, tout en restant agréable et stimulant.
Par ailleurs, c'est aussi une excellente occasion de se concentrer sur le développement d’un petit business en ligne, déjà préparé à l’avance. Ce modèle vous permet de générer un revenu tout en maximisant votre temps pour vous adapter à votre nouvel environnement, sans pression financière excessive. Bien entendu, il vous faut TRAVAILLER pour cela. Rien de magique, les plus proactifs et courageux gagnent toujours par rapport aux chercheurs d'excuses.

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La Barrière de la Langue : Un Faux Problème
Quand il s'agit de choisir un pays pour son "Plan B survivaliste", beaucoup de gens s'inquiètent de la barrière de la langue. Pourtant, cette crainte est souvent exagérée. Voici pourquoi elle ne devrait pas être un frein à votre préparation :
L'Anglais : Une Solution Universelle
L'anglais est aujourd'hui la langue la plus universelle, utilisée dans les échanges internationaux, le tourisme, et même dans les situations d'urgence. Vous n'avez pas besoin d'être bilingue pour vous débrouiller. Apprendre quelques bases peut suffire pour communiquer efficacement.
L'Importance de Baragouiner
Ne sous-estimez pas le pouvoir d'un anglais basique et des gestes pour vous faire comprendre. Apprendre 30 mots-clés et 30 expressions simples en anglais peut être une excellente préparation. Cela vous permettra de gérer les situations essentielles, comme acheter des produits, demander de l'aide ou indiquer un problème.
Astuce pratique
Les pays non anglophones sont souvent idéaux, car leurs habitants parlent un anglais de base, tout comme vous. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, cela facilite généralement la communication. Ne vous mettez des barrières mentales, des milliers de retraités ou d'expat ne parlent PAS un mot d'anglais et se débrouillent parfaitement avec le langage des signes, quelques mots simples et des applications traductrices.
Que vous préfériez un repli temporaire ou une transition plus durable, voici les 15 pays les plus abordables pour concrétiser votre plan B.
Les 15 pays les moins chers pour votre plan B survivaliste
Ces pays ne sont que des exemples, à adapter à votre propre situation et vos besoins spécifiques.
Le principal objectif de cet article n’est pas de vous vendre un rêve ou une solution "clé en main", mais de vous ouvrir les yeux sur une alternative réaliste à la fameuse maison des trois petits cochons. Cette alternative n’a rien de magique. Elle ne garantit ni sécurité absolue ni confort éternel.
Mais, est-ce qu’elle vaut le coup d’être envisagée et préparée ? C’est à vous de décider. Vous êtes l’unique responsable de votre vie. Les décisions que vous prenez — ou ne prenez pas — auront un impact direct sur votre avenir et celui de vos proches. Ce n’est ni un jeu, ni une théorie. La préparation demande du sérieux, du discernement, et surtout la volonté de sortir de l’inaction. À vous de voir si un plan B international mérite d’être dans votre stratégie de survie.

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15. Transnistrie : Une enclave méconnue
Visa : Entrée possible avec une autorisation temporaire, mais attention à la complexité administrative due au statut non reconnu de cette région.
Coût de la vie :
- Logement : Appartement modeste à partir de 100 €/mois.
- Repas : Repas local à 2 €.
- Transports : 0,20 € par trajet en bus.
Climat : Tempéré continental, avec des étés chauds et des hivers rigoureux.
Sécurité : La Transnistrie est une région relativement sûre pour les visiteurs, bien que son statut non reconnu puisse entraîner des incertitudes juridiques. La tolérance des locaux envers les étrangers est globalement positive, mais la méfiance peut exister en raison du contexte politique. La corruption est présente à divers niveaux, notamment dans les interactions administratives. Quant à l’assimilation des étrangers, elle est limitée, car la région reste très attachée à ses traditions et à son identité.
Religion : La Transnistrie est majoritairement orthodoxe avec une pratique religieuse traditionnelle. Les habitants ne sont pas particulièrement intégristes, mais ils sont très attachés à leurs valeurs culturelles et religieuses, ce qui peut être un facteur à prendre en compte pour les visiteurs ayant des croyances différentes.
Job : Les opportunités de travail pour les étrangers sont rares. Les emplois locaux sont majoritairement occupés par les habitants, et le développement économique est limité. Cependant, pour les nomades digitaux, la vie bon marché peut être un atout si vous pouvez travailler à distance. Monter un business physique est compliqué en raison des incertitudes politiques et administratives.
Niveau d’anglais : La population locale parle principalement le russe, avec quelques personnes parlant le moldave ou l’ukrainien. L’anglais est très peu pratiqué, ce qui peut poser des défis de communication. Apprendre quelques bases de russe est fortement recommandé pour naviguer dans la région.
Pourquoi choisir la Transnistrie ? Extrêmement bon marché, mais ses incertitudes politiques la réservent à ceux qui acceptent un certain niveau de risque.
14. Honduras : Entre opportunités et précautions
Visa : Procédures simples, renouvelable à long terme.
Coût de la vie :
- Logement : Maison modeste à 100-150 €/mois.
- Repas : Moins de 1,50 € sur les marchés locaux.
- Transports : 0,30 € pour un trajet en bus.
Climat : Tropical, parfait pour l’agriculture vivrière.
Sécurité : Le Honduras est connu pour ses défis en matière de sécurité, notamment dans les zones urbaines où la criminalité est élevée. Cependant, les zones rurales sont généralement plus sûres, bien que des précautions restent nécessaires. Les étrangers peuvent être bien accueillis, mais la méfiance peut exister dans les zones sensibles. La corruption est présente à divers niveaux, notamment dans les interactions administratives et policières. L’assimilation des étrangers est limitée, bien que les expatriés installés depuis longtemps puissent s’intégrer progressivement.
Religion : Le Honduras est majoritairement catholique avec une influence croissante des églises évangéliques. La population est globalement tolérante sur le plan religieux, bien que les valeurs chrétiennes traditionnelles soient fortement ancrées dans la société.
Job : Il est possible de travailler au Honduras, mais les opportunités pour les étrangers sont généralement limitées aux secteurs comme l’enseignement de l’anglais, les ONG, ou la gestion d’entreprises locales. Les nomades digitaux peuvent y trouver un cadre abordable pour travailler en ligne, tandis que créer un business physique nécessite de bien comprendre les lois locales et d’être prêt à naviguer dans un environnement bureaucratique et parfois corrompu.
Niveau d’anglais : L’espagnol est la langue officielle et majoritairement parlée. L’anglais est peu courant en dehors des zones touristiques, ce qui peut être un obstacle pour les non-hispanophones. Apprendre les bases de l’espagnol est indispensable pour vivre ou travailler sur place.
Pourquoi le Honduras ? Une vie abordable dans les zones rurales, mais il faut éviter certaines zones urbaines où la sécurité est moins fiable.
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13. Albanie : Le secret de l’Europe à petit prix
Visa : Simple d’accès pour les Européens, accessible pour d’autres nationalités.
Coût de la vie :
- Logement : Appartement en bord de mer à 150-200 €/mois.
- Repas : 3-5 € au restaurant.
- Transports : 0,50 € par trajet.
Climat : Méditerranéen, avec des étés chauds et des hivers doux.
Sécurité : L'Albanie est globalement un pays sûr pour les visiteurs. Les Albanais sont connus pour leur hospitalité et leur tolérance envers les étrangers. La corruption existe, principalement dans l’administration et certains services publics, mais elle n’affecte généralement pas les voyageurs. L’assimilation des étrangers est relativement aisée, notamment dans les zones touristiques où la population est habituée à interagir avec des visiteurs internationaux.
Religion : L’Albanie est un exemple de cohabitation religieuse pacifique. Le pays est principalement musulman (majoritairement sunnite et bektashi), mais il compte aussi une importante minorité chrétienne (orthodoxes et catholiques). La population est très tolérante sur le plan religieux, et l’athéisme est également courant.
Job : Les opportunités de travail pour les étrangers sont limitées, mais les nomades digitaux y trouveront un cadre de vie abordable et agréable. Monter un business physique est faisable, notamment dans le secteur touristique ou gastronomique, bien que la bureaucratie puisse être un défi. Par ailleurs, les étrangers qui enseignent des langues comme l’anglais ou le français peuvent trouver des opportunités.
Niveau d’anglais : Dans les zones urbaines et touristiques, l’anglais est de plus en plus parlé, notamment par les jeunes générations. Cependant, dans les régions rurales, les habitants communiquent principalement en albanais, qui est une langue complexe à apprendre. Quelques bases en albanais peuvent être utiles pour s’intégrer davantage.
Pourquoi l’Albanie ? Une destination européenne abordable avec des opportunités pour une vie autonome.
12. Bulgarie : La vie économique en Europe de l’Est
Visa : Simple pour les Européens, démarches accessibles pour d’autres nationalités.
Coût de la vie :
- Logement : Maison en zone rurale dès 100-150 €/mois.
- Repas : 4-6 € au restaurant, moins de 2 € chez soi.
- Transports : 0,50 € par trajet.
Climat : Continental, propice à l’agriculture, avec des hivers froids.
Sécurité : La Bulgarie est généralement un pays sûr pour les étrangers, surtout dans les zones rurales. Les habitants sont accueillants, bien que parfois réservés au premier abord. La corruption reste un problème dans l’administration et certains secteurs publics, mais elle n’affecte pas directement les visiteurs ou expatriés. L’assimilation des étrangers est progressive, mais le pays compte déjà une petite communauté d’expatriés, notamment en zone rurale.
Religion : La Bulgarie est majoritairement orthodoxe chrétienne, et la pratique religieuse est plutôt modérée. Il existe également une minorité musulmane, principalement dans les régions frontalières avec la Turquie. Le pays est globalement tolérant sur le plan religieux, avec une culture respectueuse des différences.
Job : Il est possible pour les étrangers de travailler en Bulgarie, notamment dans les secteurs liés aux services, à l’agriculture ou aux technologies de l’information. Les nomades digitaux peuvent profiter du faible coût de la vie et d’une connexion Internet fiable dans les villes. Monter un business physique est faisable, mais il est important de s’informer sur la bureaucratie locale et les obligations fiscales.
Niveau d’anglais : Les jeunes générations et les habitants des villes parlent souvent un anglais fonctionnel, mais dans les zones rurales, le bulgare prédomine et peut représenter une barrière linguistique. Le bulgare est une langue slave avec un alphabet cyrillique, ce qui peut être un défi pour les étrangers, mais apprendre quelques phrases de base peut grandement aider à s’intégrer.
Pourquoi la Bulgarie ? Des terres fertiles et un coût de la vie bas, idéal pour une vie en autosuffisance.
11. Vietnam : Tradition et autonomie
Visa : Options renouvelables facilement.
Coût de la vie :
- Logement : Appartement simple pour 100-150 €/mois.
- Repas : 1-2 € pour un repas de rue.
- Transports : Scooter à louer pour 40 €/mois, essence à 0,90 €/litre.
Climat : Tropical au sud, tempéré au nord.
Sécurité : Le Vietnam est un pays relativement sûr, avec un faible taux de criminalité envers les étrangers. Les locaux sont généralement très accueillants et chaleureux envers les étrangers, en particulier dans les zones rurales. Cependant, dans les grandes villes, les pickpockets et les arnaques touristiques sont à surveiller. La corruption est présente dans l'administration, mais elle n’affecte pas trop les visiteurs ordinaires. L'assimilation des étrangers est facilitée par l'ouverture culturelle des Vietnamiens, bien que certains étrangers puissent se heurter à des barrières linguistiques.
Religion : Le Vietnam est un mélange unique de bouddhisme, de taoïsme et de confucianisme, connu sous le nom de "tam giáo". Les pratiques religieuses sont généralement tolérantes, bien que certaines minorités religieuses puissent faire face à des restrictions. Les habitants sont en général ouverts et respectueux envers les différentes croyances.
Job : Les opportunités de travail pour les étrangers se concentrent sur l'enseignement de l'anglais, qui est en forte demande, ou sur les secteurs technologiques et touristiques. Les nomades digitaux trouveront un environnement abordable et des infrastructures numériques adéquates dans les grandes villes comme Hanoï ou Ho Chi Minh-Ville. Monter un business physique est faisable, mais cela nécessite de naviguer dans un système bureaucratique complexe.
Niveau d’anglais :
Dans les grandes villes, l'anglais est de plus en plus parlé, notamment par les jeunes générations et dans le secteur du tourisme. Cependant, dans les zones rurales, la maîtrise de l'anglais est rare, et le vietnamien est indispensable. Le vietnamien est une langue tonale et peut être difficile à apprendre pour les étrangers, mais quelques bases peuvent aider considérablement à s’intégrer.
Pourquoi choisir le Vietnam ? Faible coût de la vie et opportunités pour une vie autonome dans les zones rurales.
10. Laos : Discrétion et simplicité
Visa : Renouvelable facilement tous les 3 mois.
Coût de la vie :
- Logement : Appartement simple dès 100 €/mois.
- Repas : 1-2 € par repas dans les marchés locaux.
- Transports : Trajet en bus à 0,30 €.
Climat : Tropical, propice à l’autosuffisance.
Sécurité : Le Laos est un pays globalement sûr, avec une faible criminalité envers les étrangers. Les habitants sont chaleureux, mais discrets et respectueux envers les visiteurs. Cependant, la corruption est répandue, notamment dans les interactions administratives et policières, bien qu’elle n'affecte pas toujours directement les étrangers. L'assimilation des étrangers peut être limitée en raison des différences culturelles, mais les expatriés sont généralement bien tolérés, surtout dans les zones touristiques ou rurales.
Religion : Le Laos est majoritairement bouddhiste theravāda, une religion qui favorise la tolérance et la sérénité. La pratique religieuse est respectueuse et peu intrusive, ce qui permet aux visiteurs de cohabiter facilement avec les croyances locales.
Job : Les opportunités de travail pour les étrangers sont limitées, mais des options existent dans l’enseignement de l’anglais, les ONG ou les petites entreprises locales. Les nomades digitaux peuvent profiter du faible coût de la vie, mais les infrastructures Internet, bien que présentes, peuvent être moins fiables qu’ailleurs dans la région. Monter un business physique est possible, mais cela nécessite de comprendre les lois locales et de naviguer dans une bureaucratie souvent opaque.
Niveau d’anglais : L’anglais est peu parlé en dehors des zones touristiques, bien que les jeunes générations et les professionnels du tourisme puissent le maîtriser de manière fonctionnelle. Le lao est la langue officielle et, bien qu’elle soit complexe pour les étrangers, apprendre quelques bases peut grandement améliorer les interactions avec les locaux.
Pourquoi le Laos ? Une vie simple et des ressources naturelles abondantes.
9. Cambodge : Liberté et opportunités
Visa : Visa business ou retraite, renouvelable à long terme.
Coût de la vie :
- Logement : Maison modeste dès 100-150 €/mois.
- Repas : 1-2 € pour un repas local.
- Transports : Scooter à louer pour 40 €/mois.
Climat : Tropical, idéal pour cultiver des fruits et légumes.
Sécurité : Le Cambodge est globalement sûr pour les étrangers, bien que certaines précautions soient nécessaires dans les zones urbaines en raison des vols à l'arraché. Les habitants sont accueillants et chaleureux envers les visiteurs. La corruption est omniprésente, notamment dans l'administration et les forces de l’ordre, mais elle est souvent gérable pour les étrangers. L’assimilation est relativement facile, surtout dans les villes et les communautés d’expatriés, où la diversité est bien acceptée.
Religion : Le Cambodge est majoritairement bouddhiste theravāda, avec une société influencée par des valeurs de tolérance et de respect. Les pratiques religieuses sont apaisantes et non contraignantes pour les visiteurs, bien que la religion joue un rôle important dans la vie quotidienne.
Job : Le Cambodge offre des opportunités de travail pour les étrangers, en particulier dans l’enseignement de l’anglais, le tourisme ou la gestion d’entreprises locales. Les nomades digitaux bénéficient d’un faible coût de la vie et d’une connectivité Internet en constante amélioration, bien que certaines zones rurales puissent être moins bien desservies. Monter un business physique est relativement facile grâce à des démarches administratives simples, ce qui attire de nombreux entrepreneurs.
Niveau d’anglais : L’anglais est largement parlé, surtout dans les zones touristiques et par les jeunes générations. En revanche, dans les zones rurales, les habitants parlent principalement le khmer, qui est une langue unique et complexe, mais apprendre quelques mots en khmer est apprécié par les locaux.
Pourquoi le Cambodge ? Faible coût de la vie et facilité d’installation.
8. Nicaragua : Sérénité en Amérique centrale
Visa : Procédures simples pour les retraités ou avec un revenu stable.
Coût de la vie :
- Logement : Maison rurale dès 100-150 €/mois.
- Repas : 1,50-2 € pour un repas local.
- Transports : Bus locaux à 0,20 € par trajet.
Climat : Tropical et agréable.
Sécurité : Le Nicaragua est l’un des pays les plus sûrs d’Amérique centrale, bien que certaines zones urbaines puissent présenter des risques liés à la criminalité. Les habitants sont globalement accueillants et bienveillants envers les étrangers, surtout dans les zones rurales. La corruption existe dans les institutions publiques, mais elle n’a généralement pas d’impact direct sur les visiteurs. L’assimilation des étrangers est relativement facile, surtout dans les petites communautés où la vie sociale est centrée sur les relations de voisinage.
Religion : Le Nicaragua est majoritairement catholique, avec une présence croissante des églises évangéliques. Les pratiques religieuses sont souvent bien intégrées dans la culture locale, mais la société est tolérante envers les autres croyances. Les étrangers sont libres de pratiquer ou non leur religion sans crainte de jugement.
Job : Les opportunités de travail pour les étrangers sont limitées, mais il est possible de trouver un emploi dans les secteurs liés au tourisme ou à l’enseignement des langues. Les nomades digitaux peuvent profiter d’un coût de la vie très abordable, bien que la connectivité Internet puisse varier selon les régions. Monter un business physique, notamment dans l’agriculture ou le tourisme, est faisable, mais cela nécessite de comprendre les lois locales et de naviguer dans une bureaucratie parfois lente.
Niveau d’anglais : L’anglais est peu parlé en dehors des zones touristiques. L’espagnol est la langue principale, et il est essentiel d’en maîtriser les bases pour communiquer efficacement. Apprendre l’espagnol est relativement accessible et constitue un atout majeur pour s’intégrer pleinement à la vie locale.
Pourquoi choisir le Nicaragua ? Accès facile à des terres agricoles fertiles.
7. Philippines : Simplicité insulaire
Visa : Renouvelable avec des options pour les séjours longue durée.
Coût de la vie :
- Logement : Appartement dès 100-150 €/mois.
- Repas : 1,50 € pour un repas local.
- Transports : Bus ou tricycles pour 0,30-0,50 € par trajet.
Climat : Tropical, idéal pour une vie en autonomie.
Sécurité : Les Philippines comptent plus de 7 000 îles, offrant une diversité de cadres de vie. Globalement, le pays est sûr pour les étrangers, bien que certaines régions comme Mindanao présentent des risques liés à des conflits locaux. Les habitants sont connus pour leur hospitalité chaleureuse envers les visiteurs. La corruption est présente, en particulier dans les administrations publiques, mais elle peut être évitée avec des démarches bien planifiées. L’assimilation des étrangers est facilitée par la mentalité accueillante et l’ouverture culturelle des Philippins, surtout dans les îles touristiques.
Religion : Les Philippines sont majoritairement catholiques, ce qui en fait une exception en Asie du Sud-Est. La pratique religieuse est importante dans la vie quotidienne, mais la société est globalement tolérante envers d'autres croyances ou modes de vie, ce qui permet aux étrangers de s’y sentir à l’aise.
Job : Le travail pour les étrangers est possible, principalement dans les secteurs du tourisme, de l’enseignement de l’anglais, ou encore du BPO (Business Process Outsourcing). Les nomades digitaux peuvent y vivre à moindre coût, avec un accès Internet qui varie selon les îles, mais qui est fiable dans les grandes villes comme Manille ou Cebu. Monter un business physique est faisable, mais nécessite de naviguer dans les lois locales et la bureaucratie.
Niveau d’anglais :
L’anglais est l’une des langues officielles et est couramment parlé dans tout le pays, ce qui facilite grandement la communication. Cependant, le tagalog et les nombreux dialectes locaux (comme le cebuano) dominent dans les conversations quotidiennes. Les Philippins sont généralement polyglottes et s’adaptent facilement aux étrangers.
Pourquoi les Philippines ? Une vie abordable et proche de la nature, avec la possibilité de choisir parmi plus de 7 000 îles pour s’installer.
6. Géorgie : Une Europe abordable et accueillante
Visa : Séjour sans visa pour 1 an pour de nombreux ressortissants.
Coût de la vie :
- Logement : Appartement pour 100-150 €/mois.
- Repas : 4-5 € au restaurant, moins de 2 € chez soi.
- Transports : Bus locaux à 0,30-0,50 €.
Climat : Varié, idéal pour l’autosuffisance.
Sécurité : La Géorgie est considérée comme un pays très sûr pour les étrangers, avec une faible criminalité. Les habitants sont connus pour leur hospitalité légendaire et leur accueil chaleureux, ce qui facilite l'intégration. La corruption, autrefois répandue, a considérablement diminué ces dernières années grâce à des réformes, bien que des cas isolés puissent encore survenir. L’assimilation est relativement facile, surtout dans les villes comme Tbilissi, où la communauté d’expatriés est en croissance.
Religion : La Géorgie est majoritairement orthodoxe chrétienne et très attachée à ses traditions religieuses. Bien que les habitants soient tolérants, la religion joue un rôle important dans la culture locale, et il est préférable de respecter ces valeurs dans les interactions sociales.
Job : Il est possible de travailler en Géorgie, surtout dans les secteurs du tourisme, de la technologie ou de l’enseignement de l’anglais. Les nomades digitaux apprécient la Géorgie pour son visa d’un an, son faible coût de la vie, et son infrastructure Internet fiable, même dans les petites villes. Monter un business physique est aussi relativement simple grâce à une fiscalité attractive et des démarches administratives accessibles.
Niveau d’anglais : L’anglais est couramment parlé par les jeunes générations et dans les zones touristiques, mais les générations plus âgées préfèrent souvent le géorgien ou le russe. Le géorgien, avec son alphabet unique, peut être difficile à apprendre, mais les locaux apprécient les efforts pour parler quelques mots de leur langue.
Pourquoi la Géorgie ? Sa simplicité d’installation et son faible coût de la vie, combinés à une culture accueillante et des paysages variés.
5. Tanzanie : Une option africaine économique
Visa : Facile à obtenir, avec des options de renouvellement régulières pour les expatriés ayant un revenu stable ou pour les investisseurs. Cette flexibilité attire de nombreux survivalistes cherchant un refuge durable.
Coût de la vie :
- Logement : Maison modeste à partir de 100-150 €/mois dans les zones rurales.
- Repas locaux : 1-2 € pour un repas dans les marchés locaux.
- Transports : 0,30 € par trajet en bus, essence à 1 €/litre.
Climat : Tropical dans les plaines et plus frais dans les zones montagneuses comme le Kilimandjaro.
Sécurité : La Tanzanie est généralement sûre pour les étrangers, surtout dans les zones rurales où les communautés sont souvent accueillantes. Cependant, les grandes villes comme Dar es Salaam peuvent connaître des problèmes de petits vols ou de fraudes. Les Tanzaniens sont globalement chaleureux et bienveillants envers les étrangers, bien qu’il soit conseillé de respecter les coutumes locales pour s’intégrer. La corruption existe à divers niveaux, mais elle est souvent gérable avec des démarches bien préparées. L’assimilation est facilitée par le caractère tolérant et curieux des locaux.
Religion : La Tanzanie est un mélange religieux harmonieux, avec une répartition presque égale entre musulmans et chrétiens, et une forte présence de traditions animistes. La coexistence religieuse est pacifique, et les étrangers sont généralement libres de pratiquer leur religion sans contrainte. Cependant, il est recommandé de respecter les pratiques locales, notamment dans les régions à majorité musulmane comme Zanzibar.
Job : Les opportunités pour les étrangers incluent principalement l’enseignement, le tourisme, ou encore les projets agricoles. Les nomades digitaux peuvent y trouver un cadre de vie abordable, bien que l'accès à Internet soit inégal selon les régions. Monter un business physique, comme une ferme ou une petite entreprise liée au tourisme, est possible, mais cela demande de naviguer dans les réglementations locales et parfois dans un environnement bureaucratique.
Niveau d’anglais : L’anglais est l’une des langues officielles et est largement parlé dans les grandes villes et par les jeunes générations. Cependant, le swahili est la langue la plus utilisée au quotidien, et apprendre quelques bases est fortement recommandé pour s’intégrer pleinement.
Pourquoi la Tanzanie ? Abondance de ressources naturelles, faible coût de la vie et opportunités pour cultiver ou vivre en autonomie.
4. Turquie : Entre Europe et Asie
Visa : Accessible pour de nombreuses nationalités, avec des options de résidence longue durée simples à obtenir.
Coût de la vie :
- Logement : Appartement ou maison en campagne à partir de 150-200 €/mois.
- Repas locaux : 3-5 € dans un restaurant modeste, 2 € à domicile.
- Transports : 0,50-1 € par trajet en bus.
Climat : Diversifié selon les régions, méditerranéen sur les côtes, continental à l’intérieur, avec des hivers froids et des étés chauds.
Sécurité : La Turquie est globalement sûre pour les expatriés, bien que certaines zones proches des frontières orientales soient moins stables. Les grandes villes, comme Istanbul et Ankara, nécessitent une vigilance habituelle contre les vols ou les escroqueries. Les Turcs sont généralement chaleureux et accueillants envers les étrangers, surtout dans les zones rurales et côtières. La corruption existe à certains niveaux, mais elle n'affecte pas directement les visiteurs ou résidents réguliers. L'assimilation des étrangers est aisée, notamment dans les régions où la diversité culturelle est plus marquée.
Religion : La Turquie est majoritairement musulmane, avec une pratique modérée influencée par le caractère laïc de l'État. Les habitants sont globalement tolérants, et les étrangers pratiquant d'autres religions ou ayant des modes de vie différents y trouvent facilement leur place. Cependant, respecter les coutumes locales est recommandé, surtout dans les régions plus conservatrices.
Job : Les opportunités de travail pour les étrangers incluent principalement l’enseignement de l’anglais, le tourisme et les investissements immobiliers. Les nomades digitaux profitent d’un coût de la vie modéré et d’une connectivité Internet fiable, particulièrement dans les grandes villes. Monter un business physique est également faisable, grâce à des démarches administratives simples et un marché local dynamique.
Niveau d’anglais : L’anglais est bien parlé dans les zones touristiques et par les jeunes générations, mais il reste peu courant dans les zones rurales. Le turc est une langue accessible pour les étrangers avec un peu de pratique, et apprendre quelques bases peut grandement améliorer l’intégration sociale et professionnelle.
Pourquoi choisir la Turquie ? Un pont entre l’Europe et l’Asie, avec une qualité de vie abordable, un climat diversifié et des opportunités pour s’installer durablement.
3. Paraguay : L’eldorado discret de l’Amérique du Sud
Visa : Résidence permanente accessible avec un dépôt bancaire d’environ 4 000 €, sans conditions compliquées.
Coût de la vie :
- Logement : Maison en zone rurale dès 100-150 €/mois.
- Repas locaux : Nourriture de marché ou repas pour 1-2 €.
- Transports : 0,30 € par trajet en bus.
Climat : Subtropical, idéal pour l’agriculture vivrière et l’autosuffisance.
Sécurité : Le Paraguay est un pays relativement sûr pour les expatriés, surtout dans les zones rurales. Les grandes villes, comme Asunción, nécessitent une vigilance accrue pour éviter les vols opportunistes. Les habitants sont connus pour leur accueil chaleureux et leur hospitalité envers les étrangers. La corruption existe à divers niveaux, notamment dans les administrations et les services publics, mais elle est rarement un obstacle majeur pour les expatriés. L’assimilation des étrangers est généralement facile, en particulier pour ceux qui s’installent dans les zones agricoles ou rurales où la vie communautaire est valorisée.
Religion : Le Paraguay est majoritairement catholique, avec une influence culturelle importante des traditions religieuses. La population est tolérante envers les croyances différentes, et les étrangers ne rencontrent généralement pas de problèmes liés à la pratique ou à l’absence de religion.
Job : Les opportunités d’emploi pour les étrangers sont limitées, mais l’agriculture et les petits commerces locaux offrent des perspectives intéressantes pour ceux qui souhaitent monter leur propre projet. Les nomades digitaux peuvent y trouver un cadre de vie abordable, bien que la connectivité Internet soit parfois inégale dans les zones rurales. Monter un business physique est relativement simple grâce à des démarches administratives accessibles et un marché local qui favorise l’entrepreneuriat.
Niveau d’anglais : L’anglais est rarement parlé, sauf dans certains cercles d’affaires ou par des jeunes ayant étudié à l’étranger. L’espagnol est indispensable pour s’intégrer et naviguer dans la vie quotidienne. L’apprentissage de l’espagnol est relativement facile et constitue un atout pour s’intégrer rapidement dans la culture locale.
Pourquoi choisir le Paraguay ? Avec ses terres fertiles, une faible densité de population et des coûts très bas, c’est une destination parfaite pour les survivalistes.
2. Bolivie : La nature brute à petit prix
Visa : Options de résidence simples à obtenir avec un revenu ou une activité déclarée.
Coût de la vie :
- Logement : Maison modeste à partir de 100-150 €/mois.
- Repas locaux : Repas dans un marché local pour 1-2 €.
- Transports : 0,20 € par trajet en bus.
Climat : Extrêmement varié, allant des montagnes froides des Andes aux plaines tropicales, avec des options adaptées à différents types de modes de vie.
Sécurité : La Bolivie est relativement sûre pour les étrangers, surtout dans les zones rurales. Cependant, certaines grandes villes comme La Paz ou Santa Cruz nécessitent une vigilance accrue contre les vols opportunistes. Les Boliviens sont accueillants envers les étrangers, et les communautés rurales sont souvent solidaires. La corruption est présente à divers niveaux, en particulier dans les administrations publiques, mais elle n’a généralement pas d’impact significatif sur les expatriés qui respectent les règles locales.
Religion : La Bolivie est majoritairement catholique, avec des influences culturelles issues des traditions indigènes. Les habitants sont globalement tolérants envers les autres croyances et pratiques, et les étrangers ne rencontrent pas de restrictions religieuses.
Job : Les opportunités pour les étrangers se concentrent dans des secteurs comme l’agriculture, le commerce ou les ONG. Les nomades digitaux peuvent profiter du faible coût de la vie, bien que la connectivité Internet puisse être inégale en dehors des grandes villes. Monter un business physique, en particulier dans l’agriculture ou les services, est faisable, bien que la bureaucratie puisse être un défi.
Niveau d’anglais : L’anglais est peu parlé, sauf dans certains cercles touristiques ou éducatifs. L’espagnol est essentiel pour s’intégrer et naviguer dans la vie quotidienne. Apprendre quelques bases d’espagnol est relativement simple et aide grandement à faciliter les interactions avec les locaux.
Pourquoi la Bolivie ? Ses vastes terres rurales, son sol fertile et ses faibles coûts en font une excellente option pour une vie autonome, tout en offrant un cadre de vie varié et proche de la nature.
1. Thaïlande : Le meilleur compromis ?
Visa : Nombreuses options flexibles : visa retraite, visa business, visa nomad digital, visa touristique renouvelable.
Coût de la vie :
- Logement : Appartement dès 100-150 €/mois dans des villes secondaires.
- Repas locaux : Nourriture de rue pour 1-2 € par repas.
- Transports : Scooter à louer pour 40 €/mois, essence à 1 €/litre.
Climat : Tropical, chaud toute l’année, parfait pour cultiver ou vivre proche de la nature.
Sécurité : La Thaïlande est globalement un pays sûr pour les étrangers, avec une criminalité relativement faible. Cependant, dans les zones touristiques, il est important de rester vigilant face aux arnaques ou petits vols. Les Thaïlandais sont réputés pour leur gentillesse et leur hospitalité, ce qui facilite l’intégration. La corruption est présente, principalement dans les démarches administratives et les forces de l’ordre, mais elle n’affecte pas directement la vie quotidienne des expatriés. L’assimilation est facilitée par le caractère tolérant des locaux et l’expérience de longue date du pays avec des étrangers.
Religion : La Thaïlande est majoritairement bouddhiste theravāda, et la spiritualité joue un rôle central dans la culture locale. Les Thaïlandais sont tolérants envers d’autres religions et modes de vie, tant que les étrangers respectent les pratiques locales.
Job : Les opportunités de travail pour les étrangers incluent principalement l’enseignement de l’anglais, les secteurs touristiques et les investissements locaux. Les nomades digitaux bénéficient d’un coût de la vie abordable et d’une connectivité Internet fiable, surtout dans les grandes villes comme Bangkok ou Chiang Mai. Monter un business physique est possible, mais cela nécessite de naviguer dans les lois locales, souvent complexes, et de collaborer avec des partenaires thaïlandais.
Niveau d’anglais : L’anglais est couramment parlé dans les zones touristiques et les grandes villes, mais il reste rare dans les régions rurales. Le thaï peut être difficile à apprendre pour les étrangers, mais connaître quelques mots de base est apprécié par les locaux et facilite les interactions quotidiennes.
Pourquoi choisir la Thaïlande ? Entre son coût de la vie bas, ses options de visa flexibles et ses nombreuses ressources pour une vie en autonomie, elle reste une des meilleures destinations pour les survivalistes.

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Plan B survivaliste : Tableau comparatif
des 15 pays pas chers
Pays | Visa | Coût de la vie | Climat | Sécurité | Opportunités de travail | Niveau d’anglais |
---|---|---|---|---|---|---|
Thaïlande | ⭐⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ||
Bolivie | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐ | ||
Paraguay | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ||
Turquie | ⭐⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ||
Tanzanie | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐ | ||
Géorgie | ⭐⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐⭐ | ||
Philippines | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ||
Nicaragua | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ||
Cambodge | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐ | ||
Laos | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ||
Vietnam | ⭐⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐ | ||
Bulgarie | ⭐⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ||
Albanie | ⭐⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ||
Honduras | ⭐⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐ | ⭐⭐ | ||
Transnistrie | ⭐⭐ | ⭐⭐⭐⭐⭐ | ⭐⭐ | ⭐⭐ |
FAQ : questions sur le plan B survivaliste
Prenez en compte vos priorités : climat, coût de la vie, accessibilité des visas et niveau de sécurité. N’hésitez pas à visiter plusieurs destinations avant de vous décider.
Oui, plusieurs destinations comme le Vietnam, la Bulgarie ou le Paraguay offrent des terres fertiles et des ressources naturelles pour une vie plus autosuffisante.
Un passeport valide, des copies de vos documents importants (acte de naissance, diplômes, carnet de santé) et des fonds suffisants pour subvenir à vos besoins pendant les premiers mois.
Recherchez des visas de retraite, de travail ou d’investissement selon votre situation. Certains pays comme la Géorgie et la Thaïlande offrent des options flexibles.
Conclusion : Préparez votre avenir
dès aujourd’hui
Anticiper les imprévus, c’est assurer votre sécurité et celle de votre famille. Ces 15 pays sont des options réalistes et accessibles pour bâtir un plan B efficace. En choisissant d’être prêt aujourd’hui - du moins bien dégrossi - vous évitez de subir les crises de demain. Bien entendu, ceci est réservé aux plus courageux et proactifs, pas de magie... vous ?
Pour aller plus loin :
Plan survivaliste débutant en 3 étapes (Unique en son genre et 100% gratuit)
Sélection de matériel pour parer au plus pressé (sans gadgets inutiles)
Lexique survivaliste (glossaire ultra-complet du vocabulaire survivaliste pour s'y retrouver)
Merci pour ce comparatif ! Cependant en prenant en compte la menace de 3e Guerre mondiale, sans parler de l’effondrement possible (probable) de l’euro, le mieux serait à mon sens de partir complètement du vieux continent, et d’éviter à tout prix les pays qui ont des alliances avec l’UE, les USA, la Russie et la Chine, et qui n’ont pas d’accord d’extradition avec la France si possible (en cas de conscription). Les pays d’Amérique latine répondent bien à ces contraintes, en tout cas pour l’instant. Il faut voir ce que le Mercosur peut changer.
Hors les visas habituels, on peut aussi envisager le statut de « demandeur d’asile », dans le cas d’un conflit avéré. Certains pays sont plus accueillants que d’autres.
Oui, l’idée de se barrer du vieux continent peut clairement avoir du sens si ça part en vrille. L’Amérique latine, c’est vrai que ça coche pas mal de cases niveau neutralité et éloignement des grandes alliances. Après, comme tu dis, faut garder un œil sur le Mercosur, parce que si ça bouge, ça pourrait changer la donne.
Pour le coup des visas et du statut de demandeur d’asile, c’est une bonne piste à creuser, surtout si la situation dégénère vraiment. C’est clair que certains pays sont plus open que d’autres. Le tout, c’est d’anticiper et de préparer le terrain, histoire de pas être pris de court. Bref, t’as bien résumé la stratégie. T’as déjà une destination en tête ou c’est encore en réflexion ?
On peut aller en Uruguay sans visa, le pays a un climat qui ressemble au sud de la France et la manière de vivre qui va avec apparemment. L’inflation n’y est pas galopante, le pays est plutôt sûr, et ils font partie de l’alliance francophone (français 2e langue à l’école). Ils ont un système scolaire très performant (si on a des enfants à scolariser). Anciennement un pays qui avait une forte émigration, aujourd’hui que le pays s’est bien redressé ils remercient ceux qui ont accueilli les Uruguayens en accueillant à leur tour : 92% des demandeurs d’asile se voient octroyer une autorisation de résidence (avec accès aux soins et éducation gratuits, droit de travailler). La procédure se fait facilement et en moins de trois mois. J’ai imprimé la démarche pour faire la demande, je l’ai mise dans mon sac d’évacuation.
Merci pour les infos. Super plan.